Le BioHackLab : Différence entre versions
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À la frontière de la fabrication numérique et des sciences du vivant, le biohacklab est dédié aux biotechnologies et à l'agronomie. | À la frontière de la fabrication numérique et des sciences du vivant, le biohacklab est dédié aux biotechnologies et à l'agronomie. | ||
| − | Il met à disposition des outils de laboratoire à | + | Il met à disposition des outils de laboratoire à tous curieux, porteurs de projet, étudiants ou chercheurs souhaitant apprendre ou mener à bien des expériences. Chacun peut apporter son projet ou s'impliquer dans ceux qui existent déjà, ce qui importe le plus, c'est la curiosité et l'envie de faire par sois-même. |
| − | le | + | le Biohacklab participe à des projets de médiation scientifique pour les organismes de recherche de la région de Brest et un peu plus. L'objectif est de permettre au grand public de découvrir des projets de recherche en cours. |
| − | C'est aussi de créer et de faire : | + | C'est aussi de créer et de faire : créer des connaissances par la recherche et faire, par le développement de nouvelles technologies et de protocoles qui seront mis sous licence libre. Il est classé niveau 1 de sécurité biologique (comme une cuisine !) |
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Version du 4 novembre 2014 à 10:41
Sommaire
Présentation
À la frontière de la fabrication numérique et des sciences du vivant, le biohacklab est dédié aux biotechnologies et à l'agronomie. Il met à disposition des outils de laboratoire à tous curieux, porteurs de projet, étudiants ou chercheurs souhaitant apprendre ou mener à bien des expériences. Chacun peut apporter son projet ou s'impliquer dans ceux qui existent déjà, ce qui importe le plus, c'est la curiosité et l'envie de faire par sois-même.
le Biohacklab participe à des projets de médiation scientifique pour les organismes de recherche de la région de Brest et un peu plus. L'objectif est de permettre au grand public de découvrir des projets de recherche en cours.
C'est aussi de créer et de faire : créer des connaissances par la recherche et faire, par le développement de nouvelles technologies et de protocoles qui seront mis sous licence libre. Il est classé niveau 1 de sécurité biologique (comme une cuisine !)
Cahier des charges général
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